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Au sommaire de ce thesaurus consacré à l’auteur de La Fin de l’homme rouge (Prix Médicis Essai – 2013), trois stupéfiants « romans de voix » qui mêlent les témoignages les plus terribles et les plus intimes de deux tragédies du siècle soviétique : la Seconde Guerre mondiale, racontée du point de vue des femmes qui l’ont vécue (La guerre n’a pas un visage de femme) et de ceux qui n’étaient à l’époque que des enfants (Derniers témoins), et la catastrophe nucléaire de Tchernobyl (La Supplication). Précédé d’un entretien de l’auteur avec Michel Eltchaninoff (Dans la tête de Vladimir Poutine, Actes Sud, 2015).

Svetlana Alexievitch est née en 1948 en Ukraine. Elle a fait des études de journalisme en Biélorussie, où ses parents étaient instituteurs. Sa première publication, La guerre n’a pas un visage de femme, en 1985, sur la Seconde Guerre mondiale, dénoncée comme “antipatriotique, naturaliste, dégradante” mais soutenue par Gorbatchev est un best-seller. Chaque nouveau livre est un événement et un scandale : Les Cercueils de zinc, en 1989, sur la guerre d’Afghanistan, qui la fait connaître en France et sera adapté pour le théâtre par Didier-Georges Gabily ; Ensorcelés par la mort, en 1993, sur les suicides qui ont suivi la chute de l’urss ; et La Supplication, en 1997, sur Tchernobyl. Elle vit de nouveau à Minsk, après un long séjour à Berlin.
Son ouvrage La Fin de l’homme rouge. Le temps du désenchantement (Actes Sud, 2013), sur la fin de l’URSS et ce qui a suivi, a été classé meilleur livre de l’année 2013 par le magazine Lire et a reçu le prix Médicis Essai.
Svetlana Alexievitch reçoit le prix Nobel de littérature en 2015.

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